Le ciel à l’envers
2005 - Galerie du Château d’eau Bourges - avec Louis Jourdan et Guillaume Ledoux
Le ciel à l’envers
Parfois,dans les champs, on peut voir au même piquet d’une clôture, différents objets qui se sont accrochées là par hasard.Un morceau de tissu, de la paille, un lambeau de papier…
Ils étaient emportés par le vent, et se sont arrêtés au même endroit.
C’est ce qui s’est passé avec nous.
Au départ, la rencontre de Louis et de Guillaume lors de la première Biennale d’Art Contemporain de Bourges, cette même envie de parler d’une ruralité présente et magnifique, en évitant les larmoiements passéistes des cartes postales pour touristes.
En 2004, ces discussions deviennent un livre, LE CIEL A L’ENVERS, puis une exposition autour de cet ouvrage.
Mais il manquait quelque chose.
Il manquait le troisième élément, Michel et ses photos ; Michel et ses bistrots ; Michel et ses potes ouvriers.Depuis vingt cinq ans, après avoir quitté Paris pour Menetou-Salon, il parlait de la même chose que le peintre de La Châtre et le chanteur d’Issoudun.
En noir et blanc.
Il était tout naturel que ces trois-là s’accrochent un jour au même piquet pour faire de cette rencontre une création commune.Création n’est pas vraiment le mot juste, ce serait plutôt un acte militant, sans barrière ni format.Plutôt un moyen de dire « regardez, c’est chez nous.C’est plat, c’est vide, mais on y vit et on peut y trouver comme ailleurs des gisements de poésie. »
Malgré l’alignement des œuvres et des textes il s’agit plus d’une ambiance et d’un esprit qu’une simple exposition.
Nous sommes ici pour vous parler des gens qui décident de rester.
Guillaume, Louis, Michel.
Le ciel à l’envers
Parfois,dans les champs, on peut voir au même piquet d’une clôture, différents objets qui se sont accrochées là par hasard.Un morceau de tissu, de la paille, un lambeau de papier…
Ils étaient emportés par le vent, et se sont arrêtés au même endroit.
C’est ce qui s’est passé avec nous.
Au départ, la rencontre de Louis et de Guillaume lors de la première Biennale d’Art Contemporain de Bourges, cette même envie de parler d’une ruralité présente et magnifique, en évitant les larmoiements passéistes des cartes postales pour touristes.
En 2004, ces discussions deviennent un livre, LE CIEL A L’ENVERS, puis une exposition autour de cet ouvrage.
Mais il manquait quelque chose.
Il manquait le troisième élément, Michel et ses photos ; Michel et ses bistrots ; Michel et ses potes ouvriers.Depuis vingt cinq ans, après avoir quitté Paris pour Menetou-Salon, il parlait de la même chose que le peintre de La Châtre et le chanteur d’Issoudun.
En noir et blanc.
Il était tout naturel que ces trois-là s’accrochent un jour au même piquet pour faire de cette rencontre une création commune.Création n’est pas vraiment le mot juste, ce serait plutôt un acte militant, sans barrière ni format.Plutôt un moyen de dire « regardez, c’est chez nous.C’est plat, c’est vide, mais on y vit et on peut y trouver comme ailleurs des gisements de poésie. »
Malgré l’alignement des œuvres et des textes il s’agit plus d’une ambiance et d’un esprit qu’une simple exposition.
Nous sommes ici pour vous parler des gens qui décident de rester.
Guillaume, Louis, Michel.
